Bonjour Sébastien Mauroy ! Pourrais-tu nous faire une petite introduction de toi-même ?

Bonjour ! J’ai 44 ans, je suis papa de deux jeunes filles de 10 et 14 ans. Depuis 1997, je suis photographe freelance spécialisé en automobile. J’ai travaillé durant 15 ans en Belgique principalement pour un célèbre magazine auto avant de m’expatrier dans le sud de l’Espagne. Mon métier me permet de beaucoup voyager pour réaliser des shootings de nouveaux modèles pour des constructeurs automobiles.

Voyager sur courtes et longues distances est donc une partie essentiel de ton boulot ?

Tout à fait. Durant mes années « magazines», je réalisais facilement entre 100 et 120.000 km par an. Avec environs 150 voitures différentes. Aujourd’hui, mes déplacements quotidiens sont beaucoup plus courts. Une vingtaine de km aller-retour pour déposer mes filles à l’école. Ensuite quelques fois par mois des voyages de 60km pour aller à l’aéroport et un ou deux grand voyage par an de 4500km pour les vacances.

Avec ton expérience, c’est quoi ton opinion sur la CUPRA Formentor ? Comme ‘objet photographiqueʼ et comme ‘machine à conduireʼ ?

Le Formentor est un véhicule d’un genre nouveau. Pas nécessairement dans ses dimensions ou ses volumes mais bien dans sa présentation et son langage stylistique. Il se différencie totalement de ses frères espagnols de chez Seat mais aussi et surtout des produits de ses cousins du groupe Volkswagen d’où provient ses éléments techniques (châssis, moteur,…). La montée en gamme est spectaculaire et résolument sportive sans pour autant être ostentatoire. Les détails de finitions et la qualité des matériaux sont soignés, souvent subtils et cohérents.

À photographier, la voiture est inspirante. Le design est tranchant (avec des logos magnifiques), légèrement agressif. Elle raconte instantanément une histoire, une ambiance de ville vibrante. Barcelone sans aucun doute, la nuit.

J’ai conduit la version plug-in hybride durant une semaine. La voiture est bien équilibrée (châssis, suspensions) et le moteur vif et disponible. L’autonomie en full électrique semble avoir été calibrée pour mes besoins, même avec le pied un peu lourd. Cela donne envie d’essayer prochainement la version VZ5. Le grondement rauque de son cinq cylindres donne des frissons !

À photographier, la voiture est inspirante. Le design est tranchant (avec des logos magnifiques). 

Focus d'un connaisseur : Sébastien Mauroy 

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